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 i bet you look good on the dancefloor.

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Alma Diaz

Alma Diaz

welcome to hill head ☽ member
∴ POSTS ENVOYES : 46
∴ PSEUDO : dreamcatcher
∴ FACE : padilla
∴ CREDITS : balaclava
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∴ AGE : les années vaporeuses s'égrènent ou se soustraient au gré de tes envies. et de ses lubies.
∴ STATUT CIVIL : l'âme sensation, qui s'élève au diapason et s'écorche contre le goudron. elle aime à l'aube et quitte au crépuscule, ivre des extases trop brèves pour s'étioler
∴ OCCUPATION : artiste en représentation permanente, elle tatoue les épidermes jusqu'à l'âme, subjugue les âmes esseulées, dévoile l'avenir impalpable
∴ ADRESSE : la mer de cliff road pour bercer ses nuits, au sein de la coloc incendiaire
∴ ABOUT YOU : ec

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MessageSujet: i bet you look good on the dancefloor.   i bet you look good on the dancefloor. EmptyDim 24 Fév - 22:21

ses opales d'ambre, incandescentes et insondables, pénètrent les siennes jusqu'à y puiser l'essence qui lui manquait. les grands yeux de biche de cette fille semblent infinis et alma tressaille, troublée par la sensation entêtante qui vient mordre jusqu'à ses tripes. elle est belle. belle à en crever. douloureusement belle, de ces beautés d'oeuvre d'art, irréelles et fragiles. mais elle dégage un je-ne-sais-quoi terrible, l'odeur du soufre de la catastrophe à venir. ou passée. des non-dits en filigrane qui s'imposent dans les silences trop longs, les syllabes hésitantes et les rétines mouillées. alma connaît ce sentiment comme un amant fidèle, la vulnérabilité ciselée en armure. mais là où la sienne étincelle à force d'être polie, elle semble faire vaciller la môme sous un poids trop lourd. tu es malheureuse. son visage à la sobriété exemplaire s'approche du sien pour que son timbre velours percute la pêche de son épiderme malgré le brouhaha persistant. la fille sursaute presque, comme surprise par ce constat pourtant si évident à qui sait regarder plutôt que voir. le tissu trop vaporeux sur des courbes fondues, les larmes au bord des yeux en permanence et cette façon frénétique de regarder ces autres qui jouissent d'un samedi soir endiablé dans une volonté d'en être sans tout à fait y parvenir. tu souffres et tu attends que je te rassure. que je te dise que ça ira mieux. alma glisse la pulpe de ses doigts le long de la paume offerte, avide d'un sublime espoir. elle sent le désir pressant de cette môme qui ne veut pas son avenir. ce qu'elle recherche avidement, c'est l'injonction au bonheur. qu'alma lui murmure un avenir radieux et qu'elle sera obligée de le suivre, prisonnière d'un destin bienveillant mais intraitable. mais je ne peux pas. elle a besoin de croire et pourtant, l'illusionniste aux mensonges dorés refuse de lui donner satisfaction. quelque chose la retient. la détresse poésie, emmurée de silence, qui lui rappelle peut-être celle d'un fantôme un peu trop présent. celle d'alba. parce que ton avenir importe moins que ton propre comportement : tu n'es pas obligée d'avoir mal. tu n'es pas obligée de te raccrocher au passé. tu peux décider, au lieu de subir. cette gamine aux grands yeux tristes, elle peut choisir de ne plus être victime d'hommes inconséquents et de chagrins vite consumés. alma a compris, que la source de son malheur émanait d'une bande d'étudiants éméchés, trop quelconques pour attirer ainsi son attention sans souvenirs personnels. elle triture souvent un bracelet en argent, qu'alma assimile au cadeau  banal d'un de ces hommes sans prestance. le puzzle se compose lentement mais elle ne l'utilise pas pour prétendre être visionnaire, dotée d'un troisième oeil capable d'éclairer le monde. pas ce soir. pas pour elle. à la place, elle freine la main fébrile qui glisse dans un sac à main pour en tirer des billets et lui adresse l'ombre d'un sourire de connivence. offre-moi plutôt un verre.

et c'est au bar qu'éclate leur bulle cotonneuse.
le verre d'alma est encore plein lorsque surgit le premier coup, s'écorche la première lèvre. les conversations s'épuisent immédiatement et la musique semble encore plus assourdissante dans cette symphonie dissonante. celle de la chair molle qu'on ravage et des souffles courts. alma a l'habitude, des esprits qui s'échauffent et de la testostérone à vif. elle n'y aurait prêté qu'une attention minime si les cils de sa voisine ne battaient pas démesurément un rythme invisible, figés sur la scène comme une proie dans les phares d'une voiture. l'un des protagonistes avinés semble être le responsable de sa mine défaite et après une politesse timorée, bafouillée dans une confusion touchante, l'inconnue se précipite vers son prince pas très charmant. mais loin de l'intervention du vigile, occupé dehors à un tout autre business, le ring grossit tel une tumeur, dopé aux premiers sangs. et la petite téméraire, affolée au bord du précipice ne parvient ni à raisonner son amour déçu et encore moins à stopper cette invasion de mâles chauffés à blanc par l'alcool.
au contraire. une main vengeresse, aveugle, se trompe de cible et atteint la pommette saillante de la blonde diaphane, sonnée. c'est l'instant que choisit alma pour se lever. elle a du mal à comprendre la primitivité propre à l'homme lorsqu'elle manque de colonne vertébrale. c'est quoi, leur problème ? tout au mieux un verre renversé. si elle devait exprimer la rage à l'intérieur, celle qu'elle claquemure à l'intérieur d'un myocarde rendu amnésique pour survivre...  elle transformerait sans doute la ville en une rivière pourpre jamais tarie. au-dessus de la mêlée, neutralité exemplaire érigée en étendard, alma fend la foule de voyeurs exaltés pour rejoindre la môme bousculée. mais pas assez rapidement.
elle le voit, le félin qui surgit de son bureau, armé de la mine des mauvais jours et les rétines beaucoup trop floues. mâchoire vissés et poings serrés, il pénètre l'arène improvisée comme une lame et fond au creux de la mêlée. la bataille cherche une nouvelle orchestration et cède à la loi du plus fort : ils se dispersent piteusement, sauf un qui n'a pas cette chance. prisonnier d'une poigne enragée, il gémit sous le bourreau qui menace de pulvériser ses os. la violence est telle, inouïe, que tous se taisent. il y a quelque chose de fascinant dans la destruction, de nihiliste. de primaire. la môme fond en larmes, prise de sanglots douloureux, secouée de soubresauts et alma s'anime à nouveau. elle s'arrache à sa contemplation sans perdre une once du sang-froid désinvolte qui la caractérise pour déposer une paume sur le bras bandé déjà prêt à délivrer un énième coup. arrête, c'est qu'un môme. derrière les chairs tuméfiés et les râles plaintifs, c'est un gosse. aucune réaction. la caresse apaisante se fait serre et ses ongles franchissent aisément la barrière de l'épiderme pour impulser une réaction. alma se raccroche à sa peau pour retenir le poing et sa voix de sirène, toujours suave, se mue en fouet. sec et vif. arthur, ça suffit. et l'accent latin qui roule sous la langue, galvanisé par cet octave gagné.
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Arthur Ridley

Arthur Ridley

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∴ PSEUDO : shotgun, marion.
∴ FACE : charlie hunnam.
∴ MULTICOMPTES : camilla (portman), jean (arjona), leo (nekfeu)
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∴ AGE : trente-huit années écoulées dans un rythme effréné. il se fiche pas mal de la quarantaine à venir.
∴ STATUT CIVIL : célibataire, l'coeur arraché. il a aimé avant de se faire abandonner. il préfère la solitude de son âme à l'illusion d'être aimer par un mensonge.
∴ OCCUPATION : patron du red lion. les nuits sont sa came. roi des soirées alcoolisées et des petits sachets. il gère d'une main de maître ses petits pions.
∴ ADRESSE : (#56) solent road. un duplex qu'il partage avec son frère depuis six mois.
∴ ABOUT YOU : M O O D B O A D -- c'est l'armée qui l'a forgé. passant du gamin violent des rues à l'adulte presque exemplaire qu'il est ∴ il fume clope sur clope et traine dans son sillage l'odeur du tabac et du vieux cuir de son blouson. il a l'allure des mauvais gars mais le coeur plus généreux qu'il n'y parait ∴ la loyauté, elle coule dans ses veines depuis des années. son frère, son enclume. il fait tout pour les êtres aimés ∴ le red lion, son exutoire, sa came personnel, son bébé. il ne pourrait faire sans. dort pratiquement là bas depuis qu'elle a déserté ses draps ∴ fanatique des voitures de collection, il possède une chevrolet coupé de 65. son bébé. il l'a entièrement retapé ∴ l'alcool le rend mauvais, violent à souhait. alors, le blondinet évite de s'y perdre au risque de vrillé.
i bet you look good on the dancefloor. 5742002a03ecf855c8ca61f1959949a7R I D L E Y / and all your monsters in the night they come to life, so you embrace them in the hope that you'll survive.
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☆☆ chaos, salvation, broken heart, violence, punishment, blood, alcohol, memories, brother blood, adrenalin, kiss, love, friendship, troublemaker.
∴ SUJETS EN COURS : anja(4) ∴ romy ∴ chris ∴ alma ∴ intrigue ∴ iris

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MessageSujet: Re: i bet you look good on the dancefloor.   i bet you look good on the dancefloor. EmptyMer 27 Fév - 21:23



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alma & arthur

i don't want to know who we are without
each other it's just too hard i don't want
to leave here without you.
(@ruelle)

Le verre entre les doigts, il contemple avec amertume le fond du cristal qui semble se noyer dans le néant de ses pensées. Y a les fois où il a détesté cet objet et les fois où il y a plus goûté que nécessaire. Il est mal Arthur. Il est dans le néant de ses sentiments. Les pupilles invisibles qui le fixent avec arrogance. C'est dans ta tête tout ça Arthur. Dans ta putain de caboche de mec beurré au bourbon hors de prix. Il s'était promis pourtant, de plus jamais se mettre dans cet état. De plus jamais laisser le venin guidé ses pensées, l’entraîné dans la dureté des ténèbres qui sont les siens depuis tant d'années. La bouteille qu'il attrape de l'autre main, le verre qui remplie comme un sagouin. Il attend pas longtemps, finit par même en reverser sur son bureau. Le liquide apaise sa gorge enflammée, pas les tremblements de ses mains abîmées. Elle est revenue pour le hanter. Iris. Ta belle Iris. Elle était pas morte, son coeur battait. Le pire, c'est qu'elle l'a abandonné. Son coeur avait faibli un instant de plus lorsque de ses pupilles bleutées, il l'avait contemplé. La vérité en pleine tronche qu'il a prit, comme une bourrasque de vent, Arthur avait comprit. Pas d'amour, pas de sentiments. Juste le néant. Un deuil qu'il devait faire pour une relation balancée en l'air depuis un an. Il l'a comprit que maintenant. Comme si depuis tout ce temps, Ridley avait mit de côté sa relation. En suspens. Le retour sur Terre, brutal, presque suffoquant. Et comme souvent, il noie son désarroi dans la boisson. Y a la musique derrière le carreau occultant de son bureau qui lui fiche un mal de crâne. C'est le broua général. Derrière la scène, loin des regards indiscrets, il se prend la biture de l'année. Un massif bureau en bois, des cadres accrochés sur les murs comme souvenirs et dans le fond de la pièce, une salle de bain minuscule donnant sur un lit à peine fait. Le repère du mâle. Le repère du patron. Bien qu'un appartement tout confort l'attend tous les soirs, Arthur passe le plus clair de son temps dans cette pièce d'à peine 25m². Son échappatoire. Son exutoire. Ou sa prison bien aimée. Tout dépend l'humeur dans laquelle il s'est levé. Elles sont difficiles ces derniers temps. Presque trop lourdes à porter.

Ça bat dans ses tempes. Malgré la large vitre qui sépare son bureau de la boite de nuit, il ressent les vibrations des basses le long de son échine torturée. Les tremblements de ses doigts l'empêche de prendre son verre comme il se doit. Une dernière gorgée portée à ses lèvres et c'est le cristal qui se brise sur le bois. Un coup de poing donné à la vie vite, les nerfs lâchent peu à peu. Perdant le contrôle, ses yeux divaguent sur un cadre photo. Ses yeux rencontrent de nouveau ceux d'Iris mais bien loin du mirage dans lequel il se rejouait les scènes du passé. Réel cette fois. La photo l'est. Le coup repart tout seul et le cadre finit sur le sol. Piétiner les derniers souvenirs, c'est tout ce qu'il sait faire. La réalité, trop difficile à avaler, il préfère s'embrumer l'esprit à coup d'alcool. Son corps qu'il soulève dans une piteuse forme, il a dû mal à discerner ses pieds. Encore la force cependant, de se porter jusqu'à la large vitre où il se met à contempler ce qu'il lui reste. Les âmes bouillantes qui dansent sur la piste, la jeunesse dorée de Hill Head à ses pieds. Ça a presque quelque chose de courtisan mais il n'a plus le goût à l'apprécier, ça non plus. Les pupilles qui voguent jusqu'à ce qu'elles ne rencontrent un groupe agglutiné au plein milieu du parquet. Il tique, fronce les sourcils et sa mâchoire se raidit. Y a les minutes qui passent, elles défilent à vive allure. Sans doute pas assez sa vite à son goût. La patience qui s'effrite, les poings qu'il serrent trop fort. Personne ne bouge et son sang bouillonne. Il voit plus clair Arthur, il se perd dans la rage qui le consume, imbibé par l'alcool trop consommé. Et d'un pas acharné, Ridley ne tient plus. Un lion en cage qui sort de sa prison, un lion en cage qui claque la porte et traverse la foule sans ménagement. Il pousse, se fraye un chemin sans accoutumance et ses pieds l'emmènent jusqu'au lieu de discorde. Les videurs ne sont pas là, sans doute trop occuper ailleurs. La boite est pleine à craquer. Un samedi comme les autres. Oui presque. S'il n'avait pas consommé de bourbon, Arthur aurait sans doute était courtois. Presque poli. Mais ce n'était pas le cas. Il ne cherche pas à comprendre l'objet de la discorde et se laisse happer par la colère engendrée. Un gamin qu'il attrape par le col et son poing qui rejoint son visage. Pas de ménagement, Ridley ne retient pas ses coups et perle sa peau de ses doigts. Un, puis deux, jusqu'à ce qu'il en perde le fil. Y a la guerre qui le revient en mémoire, y a le visage d'Iris qui le contemple avec mépris. Il en oublie le lieu, l'espace temps le temps d'un moment. Il oublie que c'est un gamin qu'il a face à lui, que la foule le contemple de ces yeux ronds. Et il frappe, encore et encore. Les os craquent, il s'en fiche. Sa main se fracasse dans un bruit chaotique. Il sent à peine la main qui se pose sur sa chaire tuméfiée ni même la voix qui résonne dans son dos, avalée par la musique. Il est près à donner un dernier coup, ou un autre, qu'importe, il tient plus les comptes depuis longtemps. Les traits du visage tirés et une pression de plus sur son poignet. Le timbre s'élève dans l'air et la réalité le rappelle de plein fouet. Arthur se fige et tourne la tête. C'est le visage d'Alma que rencontre ses pupilles bleutés. Le visage grave et la peur au bout du nez. Ses doigts lâchent le col du gamin qui s'écroule sur le sol sans retenu, et Ridley reste scotcher. Un pas en arrière, puis deux. Il se perd. Titube, et les doigts de la brune lâchent leur emprise. J'suis désolé. Qu'il marmonne dans un son presque inaudible. Y a le gamin qui crie à l'agonie à ses pieds, le visage en sang puis les videurs qui affluent vers la troupe entassée au milieu de la piste de danse. Son visage qu'il prend entre ses mains, un des videurs qui l'attrape et le fait s'éloigner. Il sait pas bien qui c'est. Il sait plus bien où il est. Il entend pas les voix qui lui parlent, comprends à peine ce qu'ils lui disent. Rentrer. Le seul mot qui arrive jusqu'à ses tympans brisés.

Arthur cherche des yeux Alma, comme si elle était un repère à sa rage incontrôlée. Elle venait de retenir ses coups. De le calmer. Dans son esprit mal organisé, elle était sa bouée. Le seul visage qu'il arrivait à discerner. Elle est où Alma ? Qu'il demande. Y a trop de gens qui le bouscule. La fourmilière a reprit ses droits et y a le sang qui coule le long de ses doigts. Il se frotte le crâne et on finit par le pousser hors de la foule, à la tirer vers un endroit plus tranquille. Ses fesses qui se posent sur un tabouret bancal, la gueule enfarinée, on lui signifie de plus bouger. Il est déjà loin Arthur, dans l'arrière pièce du Red Lion et il sait déjà plus comment il est arrivé jusque là. Des secondes à se perdre sur les murs défraîchis. Des minutes peut être même jusqu'à ce que son visage n'apparaisse dans l'encadrement de la porte usée. Elle a presque l'âme salvatrice et de son regard, il soutient le sien avant de revenir sur sa main tuméfiée. Le rouge écarlate qui lui éclate les rétines. Son sang ou celui du gamin. Je l'ai tué ? Une question. Une affirmation. Y a son coeur qui rate des battements et son âme qui s'effrite un peu plus.
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