déchirure.

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holiday savage

wearing all vintage misery.

nom, prénom(s) ◇ Le contrôle même d'une main absente. Crispée dans la violence et la droiture. Les lèvres qui remuent dans la colère et dans le calme. Toujours pour dicter et contrôler. Créer une façade qui s'éloigne de la noirceur de ce nom de famille sanguinaire. Enfant prodige des Savage. T'as rapidement utilisé ton prénom comme seule couverture identitaire. Malgré les connotations féminines, l'essence même du mot devient une loi de ta vie. Flamber une richesse éphémère pour vivre de plaisirs hypocrites. Holiday, l'enfant au masque théâtrale qui sépare la vie glorieuse à la vie de racaille. âge, lieu de naissance ◇ Une journée, l'adolescence fait vibrer les traits de ton visage et douter de la maturité que t'as offerts les jours écoulés. Alors que le calme raidit ta mâchoire et fronce tes sourcils pour t'offrir des années misérables à ton compteur fictif. Officieusement, c'est le vingt-quatre octobre quatre-vingt-quatorze qui a mis le grappin sur ta vie malheureuse. Officiellement, tu t'affubles de l'âge qui te plait le plus, différent d'une journée de pluie à une nuit de braise. Ici même, sur ces trottoirs brisés. origines, nationalité ◇ L'inconscience, le mystère absolu. Ton père, homme de même sang mais dont l'histoire s'écrit dans une langue étrangère. Aucune connaissance de tes origines, de tes ancêtres. Pour te garder en sécurité, pour t'empêcher de faire un pas dans la mauvaise direction. Sans aucun doute, tu es anglais. L'accent ne ment pas. Mais quelque chose de plus sanguinaire, de plus fauve circule en toi, incapable d'en découvrir la cause. statut civil, orientation ◇ Les conquêtes qui s'enchaînent sans accroche. Un rouge-à-lèvre qui se presse sur tes lèvres et se chasse dans la nuit. Le coeur qui bat dans une cage de bitume. Des fausses émotions pour combler le béant puit de tes sentiments. Une défectuosité dans l'approche à la tendresse, mais la perfection dans les attraits séducteurs. Une préférence pour les effluves légères et fruités qui émanent du corps doux d'une femme, sans jamais fermer les yeux sur les impossibilités idéologiques. Ton père te ferait pendre à lever les yeux trop haut devant l'intérêt masculin. occupation ◇ Tu es celui qui génère la santé dans les corps brisés. Mentale par ton chant et ta diversion artistique et physique pour le diplôme lourdement acquit. Tu es infirmier, désabusé. Tu jongles entre le mensonge et une vérité qui aspire à grande volée toute ton énergie. Satisfaire le père en ne t'oubliant pas dans l'ombre. en ville depuis ◇ toujours. Malgré les rêves qui touchent le ciel et l'envie de gagner ta liberté dans une ville qui saura faire de toi l'humain que tu désires être. T'as encore trop de peur dissimulée derrière ton arrogance pour faire un pas vers l'avant. traits de caractères ◇ Élevé pour être l'enfant modèle. Qui ne pleure pas et ne divulgue aucune preuve d'émotions qui pourraient te rendre faible. Studieux, optimiste et fier, tu gardes le menton haut devant toute situation désavantageuse, sauf devant l'homme de la famille. Le seul, le vrai. Tu n'es qu'un garçon, malgré tes responsabilités. Manipulateur et hypocrite à tes fins, tu dissimules une vie de rêve derrière des promesses enduites d'erreurs et de complexité. Bon orateur malgré l'arrogance, il y a quelque chose d'attirant dans cette manière de mépriser la vie et sourire aux autres. Désir d'être un objet qui diverti, qui fait réagir dans ses blagues salaces ou sombres comme le sous-sol de l'hôpital. Désir de vouloir effleurer l'interdit, s’enivrer dans des risques cardiaques, palpitations élevées. Jouer avec tes connaissances médicales pour pousser ton corps à bout. Tu as tendance à t'entourer des mauvaises personnes, simplement pour t'occuper le temps d'une soirée. Mais au fond de toi, tu es bien solitaire. Par choix, par obligation. Tu n'en sais rien. groupe ◇ Smiling avatar, crédits ◇ Adrien Sahores par dis-moi boy.

✰ BORN TO DIE

I | Noeud papillon, cravate, bouton jusqu'au cou. Tu as l'impression d'étouffer, de te noyer lorsqu'on t'oblige à te vêtir si formellement. La sensation d'avoir un noeud coulant qui te compresse les cordes vocales et te force à te tenir droit, le visage haut. Changement d'alimentation. De manière de pensée. Port d'un masque lacérant. Fier pour ton père, déconfit pour toi-même. Encore heureusement que ton métier amène son taux de succès sans pour autant devoir te vêtir tel un politicien.

II | Ce muscle qui se glisse sur tes lèvres, humectant ton angoisse au passage. Tes dents qui s'attardent à l'intérieur de tes joues, projetant une saveur métallique contre ta langue avide. L'ongle de ton pouce qui se meurt sous ta dentition alors que t'attaques parfois à tes cuticules surélevées. Il n'est pas difficile de voir lorsque tu es contrarié. Physiquement, tout ton corps réagit, en plus de ton regard qui aura tendance à fuiter sur le côté. Tes cheveux si bien placés, ravagés par une main nerveuse.

III | Tout porte à croire que tu es un enfant unique. Rarement vu auprès d'une autre personne aux traits similaires, même lors des soirées mondaines dans lesquels tu devais te présenter. Mais le détail qui échappe aux autres : tu ne connais pas ta mère. Pas même la couleur de ses cheveux ou l'odeur de tes poignets. Tu sais qu'il y a une soeur, au même nom que toi, mais à la vie complètement différence, qui réside dans une autre ville. Loin de toi. Séparé par des idéaux perplexes. L'horloge s'épuise avant que tu ne décides d'entamer les recherches pour t'intéresser à cette jeune femme inconnue.

IV | L'amitié. Un concept qui t'as toujours été futile. L'impression d'être une lampe vive un soir boisé. Où les papillons de nuits battent de leur ailes bruyantes autour de toi. Autour de ton argent. Autour d'une richesse qui ne t'as jamais réellement appartenu, mais dont tu es l'héritier silencieux. Et même si tu pouvais t'installer sur une table de la cafétéria avec tous les sportifs et les enfants populaires, personne ne répondait à tes appels lorsque tu voulais sortir. Seulement lorsque tu précisais innocemment que tu allais leur payer l'entrée. Toujours une question d'argent, rien de sentimental.

V | On dit des gens riches et célèbres qu'ils sont pour la plupart corrompus jusqu'à la moelle. Tu n'es pas tant une preuve de cette misère, mais disons que la richesse et les contacts dissimulés de ton paternel te permis de mettre la main sur des concepts illégaux enivrants. Les stupéfiants. Un aspect important de ton malheur et ta volonté d'être libre. Pourtant emprisonné par une addiction vénéneuse qui s’infiltre en toi d'une lenteur malsaine. Il t'arrive aussi de passer tes pauses alimentaires contre le mur du bâtiment, une cigarette aux lèvres. Bâton de nicotine admises dans ta vie pour faire comme tout le monde. Incapable de reculer.

VI | Il n'y avait pas de "mange ton repas ou tu n'auras pas le droit à ton dessert". Il n'y avait tout simplement aucun plat sucré qui pénétrait la maison. Tu terminais tes brocolis et tu sortais tes cahiers scolaires pour passer à autre chose. Ce phénomène persiste encore aujourd'hui. Un désintérêt flagrant pour les pâtisseries, optant davantage pour une pomme ou un fruit quelconque. On peut t'apercevoir avec une sucette à la cerise roulant sur ta langue tâchée, mais rien de plus. Il semblerait que le sucre soit considérée une source addictive. Tu n'avais pas spécialement envie de te curer de cette bêtise.

VII | Lorsque tes cellules ne sont pas engourdies par les stupéfiants variés, tu passes tes jours et tes nuits éveillé à analyser. Utiliser tes yeux et tes sens pour admirer, comprendre, juger et critiquer. Tenir dans tes mains un objet et te mettre à tenter de le démembrer pour en soutirer un maximum d'informations qui te seront probablement inutiles. Cette curiosité va jusqu'à l'humain que tu espionnes parfois et toises longuement. Encore étonnant qu'on ne t'as pas encore considéré comme un "creap".

VIII | La porte de chez ton père t'es toujours ouverte. Comme il éprouve toujours un malin plaisir à imposer un contrôle au-dessus de ta sainte vie. Tu y entres pour prouver que tu es toujours sur la bonne voie. Mais le plus clair de ton temps, tu dors dans une chambre à cet effet à l'hôpital ou tu loges un appartement à la décoration presque inexistante. Tu n'éprouves aucun besoin de décorer un lieu où les lettres peuvent aisément s'empiler dans ta boite tant tu t'y rends rarement. Simplement par principe d'avoir un trou à rat où pourrir comme il se doit.

IX | D'un calepin à un autre, il y a toujours cette odeur de cendre qui se colle à tes voies respiratoires. Toujours le souvenir brûlant à l'arrière de ton crâne de voir ta passion prendre feu dans le foyer familial. Les pages qui se froissent, qui noircissent. Encore le corps qui se paralyse derrière le coup. Derrière la haine et la rage animale dans tes entrailles. Tu es heureux d'avoir ton petit nid où dissimuler cette passion qui rend faible, selon ton père. Mais qui montre cependant toute la force de ton coeur.

X | Autant on te connaissait comme étant le gamin qui organisait toujours les meilleures fêtes. Autant on te connait comme le cousin rapproché du paresseux à dormir partout et n'importe où. On te trouve appuyé sur un mur, les bras croisés, ronflement qui vibre dans le fond de ta gorge. Endormi sur une chaise dans la salle d'attente, ton uniforme froissé sous ton crâne. Il t'arrive de faire taire ton téléphone ou ta montre intelligente pour éviter de recevoir les alertes professionnelles.

✰ YOUNG AND BEAUTIFUL

pseudo, prénom / CHIENDGARDE âge / trop vieille. c'est impoli de demander l'âge d'une femme ! (uhuh) localisation / encore coincée entre deux bancs de neige. où avez vous trouver le forum / dans mes souvenirs. (bazzart pardi). présence / le plus que la vie peut me le permettre. (bonjour les quarts de travail de neuf heures dans les deux prochaines semaines). avis et plus / Mon avis ? Ce forum a quelque chose de si particulier et si enivrant qu'il m'a fallu peu de cinq jours pour me dire que je devais revenir et que la création d'un personnage qui me détruisait ne devait pas m'empêcher de continuer de développer mon imagination ici. Vous êtes tous formidables, merveilleux, parfaits. J'peux littéralement pas m'passer de votre passion. personnage / inventé.

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Dernière édition par Holiday Savage le Dim 3 Mar - 17:57, édité 11 fois

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"chin up kid they'd kill to see you fall".

« Aussi froid qu’une âme malheureuse. D’un regret à la vue d’un bambin pas tant désiré. Faire avec des responsabilités qui peuvent briser une réputation. Envoyer la fille avec la femme. Garder le garçon avec l’homme. Glisser dans son système des liquides et des gélules pour adultes. Désir de calme, de silence. Se concentrer, l’ignorer. Ignorer l’enfant qui pleure, l’enfant qui geint, qui souffre. Le froid polaire qui se glisse sur sa peau nue. Les fenêtres ouvertes pour chasser les effluves et les mauvais esprits. Rendre l’enfant fort dans le mal. Le laisser au sol. Le forcer à avancer par lui-même. Appréhension des mouvements. De la pensée. Des souvenirs qui font mal, qui ne dégage aucun rayon de soleil. La noirceur, l’obscurité, les teintes glaciales, la respiration courte. »

Tu ne devais jamais contredire aux lois de la maison. Et elles étaient nombreuses pour faire de toi le petit soldat de plomb parfait. Le dos qui se tient toujours droit sur une chaise ou dans l’air. Le menton qui se baisse seulement pour améliorer la boucle sur tes chaussures. Le regard perçant qui ne doit jamais se détourner. C’était l’insulte suprême. T’attarder sur autre chose que ses mots, ses gestes, ses intentions. Tu devais toujours te parfaire. Être au-dessus de toi-même. Même à un âge où les tables de multiplications et de divisions étaient des concepts encore difficiles à acquérir de mémoire.

Les anniversaires qui s’enchaînent avec toi-même. Personne à faire rire, personne à faire pleurer. Seulement tes pensés avec ton âme. Pas même le père présent pour te voir vieillir officiellement. Une assiette de verdure qui se pose devant toi, dans le silence le plus complet. Il ne voulait pas te rendre malheureux. C’est ce qu’il tentait parfois de te faire comprendre. Il voulait simplement te permettre d’avoir un avenir à la hauteur de ton nom et ne pas laisser les mots qui génèrent ton identité venir à bout de toi-même.

Mais la rupture se fait. Les assiettes se brisent et la colère fait vibrer tout ton corps. Tu trembles, t’en as marre de devoir t’éloigner des autres enfants. De toujours garder ton nez creusé dans des livres aux phrases complexes et aux idéologies ennuyantes. Qu’est-ce que tu veux ? Que veux-tu changer qu’il te cri. Tu veux des amis. Tu veux qu’on te regarde, devenir quelqu’un et pas seulement une ombre. Alors soit. Et l’argent devient ton complice dans cette torture psychologique. Parce que finalement, derrière les fêtes excentriques et l’attention que tu héritas à cause de quelques billets : tu sens le même trou béant dans ton organe vital. Tu étais plus seul que jamais.

Tu transformas ta solitude en chanson. En une libération musicale secrète. Guitare cachée sous ton lit, jouée simplement lorsque tu savais que le paternel n’était pas dans la maison. Tu étais à un âge ou une nounou n’était plus important. Mais la femme de ménage pouvait amplement s’ouvrir les lèvres et ruiner tes espoirs. Mais c’est ta propre bêtise qui fracassa ton talent amer en mille morceaux. Ton calepin oublié sur la table un soir de bain. Le silence qui se transforme en destruction. Tu sors. La serviette à la taille. Tu passes devant ta chambre, les meubles à l’envers et tu déballes dans le salon. La guitare brisée. Tes livres brûlés. Les flammes dans le regard de ton père.

On glisse une main froide dans ton dos et tu sursautes. Tu regardes la belle de la soirée contre ton épaule et tu soupires. T’en avais marre de ces souvenirs qui jonglaient entre la glace et les flammes. Tu te lèves en attrapant ton pantalon de travail et tu l’enfiles. Sans oublier les autres éléments de ton uniforme et ton gobelet de café assurément froid. Tu allumes les gadgets nécessaires à ton travail et tu sors de la pièce sans ajouter quoi que ce soit à l’ambiance désagréable. T’aspires une gorgée de ce liquide amer que tu jettes par la suite dans la poubelle la plus proche. Et on t’attrape déjà, à peine le coin tourné, pour t’occuper d’un cas qui venait d’entrer à l’urgence.

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c'est beau ce que je lis.
j'en veux plus.
il est bien trop canon ce BG.
bienvenuuuuuue

non mais attends.
c'est wolf ?
(si je me trompe, c'est la honte, je supprimerai cette partie de mon message )

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@romy wilson coucou bella. déchirure. 695416500

t'es beaux mots et ta présence font toujours autant plaisir.
merci de passer par-là . déchirure. 639114214

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@holiday savage oh chaton je suis bien trop contente de te revoir à la maison déchirure. 2044406910

hâte de voir ce que tu vas faire d'holiday.
j'espère qu'il te conviendra davantage. déchirure. 2675475702

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e
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de retour déchirure. 1798886947

tu sais déjà tout, ce personnage est un bijou et je meurs d’en lire plus déchirure. 485592100

rebienvenue chez toi déchirure. 1077740477

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tu peux pas te passer de nous déchirure. 2817905847

cette plume toujours aussi belle déchirure. 639114214

re-bienvenue chez toi déchirure. 917707445

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oh bordel. t'es revenu ? ohhhh déchirure. 504506027

j'suis trop contente, vraiment déchirure. 803523209

re bienvenue chez toi. tu connais l'chemin au besoin déchirure. 1042000036

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attention, t'es en danger !

tu as dépassé le délai de sept jours pour terminer ta fiche de présentation. tu peux encore rattraper le coup en demandant un délai supplémentaire au staff. tu as deux jours pour te manifester, dans le cas contraire, ton compte se verra tout simplement supprimer. ce serait dommage, non ?

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Je répond rapidement pour prendre le délai !
La semaine au boulot a été d'une pression indéniable et moralement j'arrivais à rien.
Mais je suis d'attaque maintenant.
Merci. <3
(deux jours supplémentaires ça me va, au fait).

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je t'ajoute ça petit chat déchirure. 4216861866

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@alma diaz j'espère ne pas décevoir ta curiosité avec cette fiche rapidement bâclée.

@ophelia gallagher je suis coupable, en effet, de ne pas être capable de me passer de vous.

@arthur ridley t'es toujours aussi parfait toi ** ~

Merci pour votre accueil, comme d'hab. déchirure. 2044406910

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Bienvenue! déchirure. 4216861866

Bon courage pour la fin de ta fiche! déchirure. 2675475702

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bravo, t'es validé(e) !

déchirure. Tumblr_inline_p8a60eKe7C1sb4p6n_250

ton personnage est parfait, comme d'hab déchirure. 4184872564

puis ta plume déchirure. 639114214

trop contente que tu sois revenue déchirure. 716869765

amuse toi bien déchirure. 3608900118

Tu as passé la difficile épreuve de la fiche de présentation et te voilà enfin dans les rangs de Murphy's Law. Pour bien commencer ton aventure parmi nous, il faut que tu commences par te recencer. Etape obligatoire à ne pas louper. Tu peux déjà te créer un scénario ou alors un prélien, c'est comme tu veux. Nous espérons que tu as déjà lu le règlement, si ce n'est pas le cas, nous te conseillons vivement d'en prendre part. Tu peux aussi créer le téléphone de ton personnage ainsi que son instagram, pour les plus frileux des réseaux sociaux. N'oublie pas de remplir tous les champs de ton profil. Mais surtout, n'oublie pas de t'amuser et nous espérons que ton séjour sur le forum sera des plus heureux